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Le Burj de Jeddah, aussi connu sous le nom de Jeddah Tower, est un gratte-ciel en cours de construction à Jeddah, en Arabie Saoudite. Il est destiné à devenir la plus haute Tour du monde, avec une hauteur prévue de plus de 1 000 mètres, dépassant ainsi l’actuelle détentrice du record, la Tour du Burj Khalifa de Dubaï (828 m). Avancement de la construction (à la mi-2025)  Après une longue pause due à des raisons géopolitiques et la pandémie de COVID-19, la construction de la Tour a repris de manière active vers la fin 2023. Les travaux progressent désormais à un rythme accéléré, soutenus par la Vision 2030 de l’Arabie Saoudite, qui vise à diversifier l’économie au-delà du pétrole. La Tour a atteint plus de 70 étages déjà construits sur les 157 prévus, soit environ la moitié de la structure. À l'été 2025, la Tour a largement dépassé la moitié de sa hauteur prévue, avec une mobilisation importante d'équipes d'ingénierie internationales. De nouveaux entrepreneurs et de grandes firmes d’ingénierie conduisent le projet à un rythme soutenu, avec des équipes travaillant jour et nuit pour respecter le calendrier. Caractéristiques notables Elle abritera probablement la plus haute plateforme d’observation du monde. Conçue pour résister aux vents extrêmes et à la chaleur du désert, elle représente un défi technique et architectural majeur. Si l’objectif de 2028 est respecté, Jeddah Tower deviendra le premier bâtiment à franchir la barre symbolique du kilomètre de hauteur, marquant une nouvelle ère dans l’architecture mondiale.

Le Ministre saoudien des Affaires Étrangères, le Prince Faisal Bin Farhan et son homologue français La Conférence sur l'établissement d'un État palestinien et la solution à deux États, co-présidée par l'Arabie Saoudite et la France, se tient à New York du 28 au 30 juillet 2025, sous l'égide de l'Assemblée Générale des Nations unies. Cette réunion internationale vise à relancer le processus de reconnaissance d'un État indépendant palestinien, avec un peuple qui pourrait vivre en paix et en sécurité sans que leurs droits soient bafoués. Objectifs et enjeux de la conférence Relancer la dynamique politique pour la reconnaissance d’un État palestinien, alors que la France a officiellement annoncé reconnaître la Palestine en septembre 2025, espérant entraîner d’autres pays européens à suivre cette voie. Réformer la gouvernance palestinienne , avec des discussions sur une réforme de l’Autorité palestinienne et l’exclusion du Hamas de la gouvernance. Paix régionale : Promotion de la normalisation des relations entre Israël et les pays arabes, bien qu'aucune avancée spectaculaire ne soit attendue dans l’immédiat. Dimension humanitaire : Réponse urgente à la crise humanitaire à Gaza et appels à un cessez-le-feu durable. Contexte international La conférence réunit plus de 100 délégations sur trois jours, dont le Premier Ministre palestinien et de nombreux Ministres des Affaires Étrangères. Ni Israël ni les États-Unis ne participent à cette édition, qui se déroule dans un contexte de guerre prolongée à Gaza et de tensions accrues dans la région. La conférence pourrait déboucher sur un sommet en septembre, dans la foulée de la reconnaissance française de la Palestine. Espoirs et limites des avancées La conférence a permis l’adoption de quelques engagements politiques clés : L’Autorité palestinienne s’est formellement engagée à organiser des élections en 2026 et à réformer sa gouvernance pour écarter le Hamas, favorisant un État palestinien démilitarisé. Huit groupes de travail internationaux ont été mis en place pour élaborer des mesures concrètes concernant la sécurité, la reconstruction et la gouvernance. Le secrétaire général de l’ONU António Guterres a averti que la solution à deux États est « plus éloignée que jamais », dans un contexte de violence persistante, d’expansion des colonies et d’absence de confiance politique entre les parties. En somme, la conférence de New York a redonné de la visibilité et une nouvelle énergie à la solution à deux États, mais les défis diplomatiques, sécuritaires et humanitaires restent extrêmement élevés. La concrétisation des engagements annoncés sera le véritable test de la viabilité des perspectives ouvertes à New York. Cette initiative vise à « transformer le consensus diplomatique en plan d’action concret » et à replacer la solution à deux États au centre des efforts diplomatiques, alors que la faisabilité de cette option est de plus en plus contestée sur le terrain en raison de la poursuite des colonies, des échecs politiques et des crimes israéliens persistants dans la bande de Gaza et en Cisjordanie occupée. Riyadh et Paris espèrent ainsi sortir de l'impasse et pousser la communauté internationale à des engagements concrets.

L'opération de séparation des siamoises syriennes Céline et Éléen, âgées d’un an et cinq mois, a été un succès à l’hôpital spécialisé pour enfants "Roi Abdullah" de Riyadh. Une équipe médicale saoudienne hautement spécialisée a pris en charge l'intervention. L’opération a mobilisé un important dispositif médical coordonnant leurs efforts entre différentes disciplines chirurgicales et anesthésiques. L’intervention a nécessité une planification approfondie en raison de la nature fusionnée de certains organes et tissus partagés par Céline et Eleen. Les jumelles, unies par le bas de la poitrine et l’abdomen, partageaient une membrane péricardique et un foie, avec une possible connexion intestinale. L’intervention complexe, qui a duré huit heures et mobilisé 24 spécialistes, a permis de les séparer avec succès, leur offrant une nouvelle façon de vivre dans des corps distincts. La mère des jumelles a exprimé son émotion après le succès de l'opération, déclarant : « Après près d’un an et demi de patience, j’ai vu mes filles dans deux lits séparés. ». L’aboutissement avec succès de la séparation démontre le haut niveau d’expertise des équipes chirurgicales saoudiennes. Ce type de chirurgie implique généralement une série d’étapes complexes : incision, dissection minutieuse des tissus partagés (pouvant inclure le foie, les intestins ou autres organes), gestion des pertes sanguines, et reconstruction des parties séparées chez chaque enfant. Cette opération marque la 66e séparation de jumeaux siamois réalisée dans le cadre du Programme saoudien de séparation des jumeaux siamois, qui a traité 150 cas et séparé 65 paires de jumeaux de 27 pays différents au cours des 35 dernières années sans aucune compensation financière . Dr. Al Rabi'ah a exprimé, en son nom et au nom de toute l’équipe médicale, ses remerciements les plus sincères à la direction saoudienne pour son appui illimité au programme, saluant également la compétence et la persévérance des équipes qui ont été la cause de ce succès médical et humanitaire, symbole de l’excellence saoudienne et de la vocation du Royaume d'Arabie Saoudite à servir l’humanité.

Le gouverneur et gestionnaire opérationnel du Fonds d'Investissement Public saoudien, qui en est aussi le visage public à l’international, Yasir Al-Rumayyan Milaf Cola est la première boisson gazeuse au monde fabriquée à partir de dattes, lancée par Thurath Al-Madina, une filiale du PIF (Fonds d'Investissement Public saoudien). Le produit a été présenté officiellement lors du festival des dattes de Riyadh en décembre 2024. Cette boisson innovante se positionne comme une alternative plus saine aux sodas classiques, car elle est faite à base d'extrait de dattes sans sucres ajoutés, ce qui répond à une demande croissante pour des options plus saines et moins sucrées. Milaf Cola mise aussi sur une production locale avec des dattes sourcées dans le pays, favorisant l'économie locale et respectant des pratiques durables. Le lancement s'inscrit dans le cadre de la Vision 2030 de l'Arabie Saoudite, un programme stratégique visant à diversifier l'économie nationale en valorisant les ressources locales comme les dattes. Le produit est conçu pour plaire aux consommateurs soucieux de leur santé, en offrant un goût agréable et les bienfaits naturels des dattes, riches en fibres, antioxydants, magnésium, et potassium. Milaf Cola est présenté comme une boisson sans additifs artificiels ni colorants, avec un packaging innovant qui se démarque des codes traditionnels des colas. La boisson vient d'être commercialisée dans plusieurs pays du Golfe Arabique depuis avril 2025 via un partenariat de distribution avec le groupe LuLu. Milaf Cola est une initiative saoudienne récente et innovante qui ambitionne de révolutionner le marché des sodas par une recette durable, locale et saine basée sur un fruit emblématique de la région, les dattes.

Le croissant lunaire annonçant l'entrée du mois de Safar 1447 a été observé et photographié au télescope 🔭. Nous n'avons pas pu le voir à l'œil nu. Le mois de Safar 1447 de l’hégire débute ce samedi 26 juillet, a annoncé, la nuit dernière, la Haute Cour de Justice d'Arabie Saoudite. Communiqué officiel du Ministère de la Justice en langue Arabe Dans un communiqué, elle souligne avoir observé le croissant lunaire annonçant le début du mois de Safar après le coucher du soleil du vendredi 29 Muharram 1447 correspondant au 25 juillet 2025 et que l’apparition du croissant lunaire a été confirmée dans plusieurs centres d'observation du Royaume. Ainsi, le 1er Safar 1447 correspond au samedi 26 juillet 2025.

Le président palestinien Mahmoud Abbas a exprimé sa gratitude envers les dirigeants saoudiens pour leur rôle et leurs efforts diplomatiques ayant contribué à la reconnaissance officielle de l'État de Palestine par la France. Le président de l'État de Palestine a également remercié les efforts du Royaume d'Arabie Saoudite et ses positions honorables, sous la direction du Roi Salman Bin Abdulaziz Al Saud et de son Prince Héritier Mohammed Bin Salman, qui ont contribué à l'engagement historique de la France en faveur de la reconnaissance de l'État de Palestine. Le président palestinien a salué le message du président français Emmanuel Macron, dans lequel il a affirmé la détermination de son pays à reconnaître l'État de Palestine lors de l'Assemblée Générale des Nations Unies en septembre prochain. Il a félicité cette démarche courageuse, qui contribuera à l'instauration d'une paix fondée sur la solution à deux États, conformément à la légitimité et au droit internationaux. Il a souligné que cette étape représente une victoire pour les droits des Palestiniens. Cette reconnaissance est perçue comme une avancée significative pour la cause palestinienne sur la scène internationale, et Mahmoud Abbas a souligné l'importance du soutien arabe, en particulier celui de l'Arabie Saoudite, dans cette démarche.

La capitale de l’Arabie Saoudite, Riyadh, connaît une avancée majeure dans la mobilité urbaine : la mise en circulation de taxis autonomes suite à une première phase opérationnelle démarrée en juillet 2025. Ce projet innovant réunit des partenaires de renom : Uber, iDrive et WeRide. Détails de la phase pilote Durée  : 12 mois pour la phase pilote. Zones couvertes  : 7 emplacements stratégiques, dont l’aéroport international "Roi Khalid", l’université Princess Nourah Bint Abdulrahman, le Roshn Business Front, et plusieurs grands axes routiers. Nombre de stations  : 13 points de prise en charge et de dépose ont été mis en place à travers Riyadh. Sécurité  : Présence obligatoire d’un agent de sécurité à bord lors de cette phase initiale pour surveiller le système et assurer la sécurité des passagers. Technologies embarquées  : Navigation avancée, capteurs temps réel, intelligence artificielle pour la prise de décision. Partenaires et collaboration Uber  : Plateforme de réservation et d’exploitation des courses. WeRide  : Fournisseur principal de la technologie de conduite autonome. WeRide déploie son robotaxi (véhicule de niveau 4 d’autonomie) après des essais à Abu Dhabi et Dubaï diversifiant ainsi sa présence internationale. iDrive et autres partenaires  : Collaboration avec des entreprises de mobilité locales et institutions publiques saoudiennes, telles que la Saudi Data and Artificial Intelligence Authority (SDAIA) et l’Autorité générale des transports. Objectifs stratégiques Modernisation des transports dans le cadre de la Vision 2030 de l’Arabie Saoudite. Amélioration de la sécurité routière, de la fluidité du trafic et de la durabilité environnementale. Transformation urbaine pour offrir des services de mobilité intelligents et adaptés à une population croissante et aux visiteurs internationaux. Perspectives Expansion prévue  : À l’issue de la phase pilote, le service pourrait être déployé à plus grande échelle et évoluer vers un fonctionnement complètement autonome, sans présence humaine à bord. Innovations connexes  : Outre le robotaxi, WeRide teste également des robobus (pour le dernier kilomètre) et des véhicules autonomes pour l’entretien urbain. La mise en circulation de ces taxis autonomes à Riyadh marque une étape déterminante vers la ville intelligente de demain et place l’Arabie Saoudite parmi les pionniers mondiaux de la mobilité autonome.

Ce 25 juillet 2025, l’Arabie Saoudite a officiellement salué l’annonce du président français Emmanuel Macron, selon laquelle la France procédera à la reconnaissance de l’État de Palestine lors de l’Assemblée générale des Nations unies prévue en septembre. Cette décision, qualifiée d’« historique » par Riyadh, a été communiquée par un message du Ministère saoudien des Affaires Étrangères. Communiqué officiel du Ministère saoudien des Affaires Étrangères en langue Arabe Contenu du communiqué saoudien Approbation de la France : Le Ministère saoudien des Affaires Étrangères a déclaré que « le Royaume salue cette décision historique qui réaffirme le consensus de la communauté internationale sur le droit du peuple palestinien à l'autodétermination et à l'établissement d'un État indépendant sur les frontières de 1967 ». Appel aux autres nations : L’Arabie Saoudite a encouragé les autres pays à prendre « des mesures positives similaires » en faveur de la cause palestinienne. Clé de la paix régionale : Le communiqué insiste sur le rôle de cette reconnaissance dans la promotion d’un processus de paix durable au Proche-Orient et réaffirme le soutien historique du Royaume à la création d’un État palestinien indépendant. Le Royaume considère cette reconnaissance comme une réaffirmation du consensus international sur le droit du peuple palestinien à l’autodétermination. Initiative diplomatique conjointe La France et l’Arabie Saoudite coprésideront également une conférence internationale destinée à reconnaître l'État de Palestine et promouvoir la solution à deux États au Proche-Orient. Rencontres bilatérales : Le 23 mai 2025, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a reçu ses homologues saoudien, égyptien et jordanien à Paris pour préparer la conférence. Une autre rencontre entre Barrot et son homologue saoudien, Faisal bin Farhan Al Saoud, a eu lieu le 23 juillet 2025, soulignant l’engagement commun pour la paix et la stabilité régionale. L’accueil favorable de l’Arabie Saoudite souligne la convergence accrue entre Paris et Riyadh en vue de promouvoir un règlement durable par la voie de la reconnaissance d’un État palestinien dans les frontières définies par le consensus international.

Contexte Le 23 juillet 2025, la Knesset israélienne a adopté, par 71 voix contre 13, une motion appelant à l’annexion de la Cisjordanie occupée et de la vallée du Jourdain, désignée dans la terminologie israélienne comme l’application de la « souveraineté israélienne sur la Judée, la Samarie et la vallée du Jourdain ». Réaction de l’Arabie Saoudite L’Arabie Saoudite a condamné avec fermeté cette résolution de la Knesset, y voyant une « violation flagrante du droit international et des résolutions de l’ONU ». Communiqué officiel du Ministère saoudien des Affaires Étrangères en langue Arabe Dans une déclaration officielle, le Ministère des Affaires Étrangères a dénoncé : Toute tentative d’imposer la souveraineté israélienne sur la Cisjordanie occupée et la vallée du Jourdain, rappelant son rejet catégorique de toute expansion coloniale sur les territoires palestiniens. L’importance d’exiger d’Israël le respect total des résolutions internationales. Le soutien indéfectible du Royaume à la cause palestinienne et à l’établissement d’un Etat indépendant dans les frontières de 1967, avec Jérusalem-Est comme capitale. Cadre Juridique International Le Ministère saoudien souligne que : Les actions israéliennes vont à l’encontre des résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies et de l’avis consultatif de la CIJ (Cour Internationale de Justice) de juillet 2024, qui a réaffirmé l’illégalité de l’occupation israélienne et des colonies dans les Territoires palestiniens occupés. L’annexion ou l’expansion des colonies sont considérées comme illégales par la communauté internationale et représentent un obstacle majeur à la paix et à la solution à deux États. Conséquences et Soutien International L’Arabie Saoudite appelle la communauté internationale à : Prendre ses responsabilités afin de mettre fin à toute tentative d’annexion ou de modification unilatérale du statut des territoires palestiniens occupés. Soutenir les droits légitimes du peuple palestinien. Œuvrer pour la mise en œuvre de la solution à deux États, considérée comme le seul moyen d’assurer la paix et la stabilité régionale. Le Royaume d’Arabie Saoudite demeure ferme dans sa condamnation de toute mesure visant à annexer ou modifier le statut de la Cisjordanie occupée et de la vallée du Jourdain, réaffirmant la centralité de la cause palestinienne dans sa politique étrangère.

Plus de 25 000 Tapis Modernisés La mosquée Prophétique (Masjid An-Nabawi) d'Al Madinah a déployé plus de 25,000 tapis équipés de puces électroniques basées sur la technologie RFID afin d’améliorer la gestion et l’efficacité opérationnelle au sein de ses espaces sacrés. Fonctionnalités des Tapis RFID Chaque tapis est doté d'une puce RFID (Radio Frequency Identification) offrant plusieurs avantages : Suivi en temps réel de l’emplacement précis de chaque tapis à l’intérieur de la mosquée (salles, cours, toits, corridors). Gestion du cycle de vie : informations sur la date de fabrication, l’état d’utilisation et les historiques de nettoyage/lavage. Maintenance optimisée : planification des lavages, suivi de l’entretien et identification des besoins de remplacement ou de réparation. Gestion centralisée et documentation des incidents  : Toutes les données liées à chaque tapis sont disponibles dans une base centralisée, facilitant audits et contrôles réglementaires Comptage automatique du nombre de tapis et identification individuelle grâce à un système de code-barres numérique. Sécurité et logistique : limitation des pertes, gestion des mouvements, et contrôle facilité lors d’évènements accueillant un grand nombre de pèlerins. Réduction des erreurs humaines  : Les scans simultanés, rapides et à distance de plusieurs tapis éliminent les erreurs liées à l’identification manuelle, accélérant les inventaires et les contrôles. Objectifs recherchés L'intégration du RFID vise plusieurs objectifs : Efficacité opérationnelle accrue dans le suivi et la distribution des tapis. Haute qualité et propreté constante grâce à la traçabilité et la maintenance renforcées. Amélioration de l’expérience des fidèles par un environnement spirituel plus propre, ordonné et géré de façon innovante. Caractéristiques des Tapis Qualité supérieure : tapis réputés pour leur épaisseur (16mm), leur densité de tissage (575,000 nœuds/m²) et leur durabilité en couleur. Entretien intensif : purification, stérilisation et suivi d’usure 24h/24 pour garantir propreté et confort. Production nationale : tapis fabriqués en Arabie saoudite, mettant en valeur le savoir-faire local. Enjeux et Innovations Digitalisation des process : la RFID représente une avancée majeure pour la digitalisation des opérations de la mosquée, s’inscrivant dans une stratégie globale d’amélioration du service offert aux pèlerins. Modèle pour d’autres institutions : cette démarche innovante pourrait inspirer d’autres lieux de culte ou espaces collectifs à forte fréquentation. La RFID transforme la gestion des tapis en un système digitalisé, fiable, réactif et transparent, répondant simultanément aux enjeux de maintenance optimisée et de sécurité renforcée. La modernisation de ces tapis via la technologie RFID illustre la volonté constante des responsables de la mosquée Prophétique d'Al Madinah de combiner tradition religieuse et avancées technologiques pour le bien-être et la sécurité des fidèles.

L'Arabie Saoudite a été réélue à la présidence du Conseil d'administration de l'Institut de normalisation et de métrologie des pays islamiques (SMIIC) pour un troisième mandat consécutif, couvrant la période 2025-2027. Cette réélection renforce la position du Royaume au sein des instances de normalisation et de métrologie des pays membres de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI). Enjeux Coordination de la normalisation et de la métrologie au sein des pays Islamiques. Renforcement des infrastructures qualité et du commerce technique entre États membres. Développement de cadres harmonisés, notamment pour la certification Halal et la reconnaissance mutuelle des systèmes d’accréditation. Importance pour le SMIIC et ses membres Leadership saoudien : La présidence saoudienne a joué un rôle clé dans la modernisation des outils de certification et d’accréditation, spécialement dans le secteur halal, et dans l’intensification de la coopération technique entre les membres du SMIIC. Représentation régionale : L’Arabie Saoudite contribue à positionner la région du Golfe Arabique comme moteur de l’innovation normative et métrologique dans le monde Islamique. Continuité des initiatives : Cette reconduction assure la poursuite des plans stratégiques 2025–2027 du SMIIC, incluant des programmes de formation, des activités de recherche et développement, et des mécanismes de reconnaissance mutuelle. À retenir L’Arabie Saoudite, en étant réélue à la présidence du Conseil d’administration du SMIIC pour la troisième fois consécutive, confirme son leadership régional et international dans les domaines de la normalisation, de la métrologie et de la certification halal au sein du monde Islamique. Cette réélection reflète donc la confiance internationale dans les compétences saoudiennes.

Présence de hautes personnalités Le Roi Charles III du Royaume-Uni a récemment inauguré un nouveau Centre Islamique à l’Université d’Oxford en présence du Prince Turki Al-Faisal, président du conseil d’administration du Centre Roi Faisal pour la recherche et les études Islamiques. La cérémonie a marqué un événement historique, symbolisant la collaboration interconfessionnelle et la reconnaissance de l’importance du dialogue entre le monde occidental et le monde Islamique. Une nouvelle aile à l’honneur du Roi Charles III Lors de la visite, le roi Charles III a officiellement inauguré la nouvelle « Aile King Charles III », qui accueillera le « King Charles III Programme », un ensemble d’initiatives centrées sur la bourse d’études, le leadership jeune musulman, ainsi que l’organisation de conférences sur des enjeux mondiaux comme l’environnement et le développement durable. Le Roi, patron du centre depuis 1993, a souligné dans son discours l’importance d’une « collaboration globale » et s’est déclaré « extrêmement reconnaissant » de voir l’OCIS jouer un rôle crucial pour la compréhension mutuelle entre différentes cultures et religions. La contribution du Prince Turki Al-Faisal Le Prince Turki Al-Faisal, figure influente du monde académique et diplomatique saoudien, préside le Centre Roi Faisal pour la recherche et les études islamiques et soutient activement les initiatives de l’OCIS. Durant la cérémonie, il a rendu hommage aux fondateurs du centre d’Oxford et rappelé les premiers soutiens venus de personnalités du monde musulman et de la famille royale saoudienne, tels que le Cheikh Sultan Al-Qassimi (Gouverneur de l'Émirat de Sharjah aux Émirats Arabes Unis) et le Roi Fahd. Signification et impact L’événement réaffirme le rôle du Centre comme lieu de promotion de l’étude de l’Islam au Royaume-Uni, de l’échange interconfessionnel et de la bourse académique d’excellence. Le bâtiment du centre, conçu par l’architecte égyptien Abdel-Wahed El-Wakil, est devenu un point de repère à Oxford, représentant l’intégration culturelle et architecturale. L’OCIS accueille chaque année des chercheurs, des étudiants, et des acteurs du dialogue interreligieux venus du monde entier. Résumé Le soutien affiché par le Roi Charles III et le Prince Turki Al-Faisal renforce la reconnaissance internationale du centre et sa mission de rapprochement entre les civilisations.